« Le très grand acteur flamand Dirk Roothooft, seul en scène, donne chair à ce texte, ajoute à la justesse des mots toute l’importance du corps et des émotions physiques. Il est parfait pour rendre le tremblement et les failles de cette parole, butant parfois sur un mot, pour raconter – en français – cet amour qui veut résister à la mort elle-même. (...) A-delà d’une lettre d’amour, c’est une leçon de vie, d’humanité, que nous délivre André Gorz: que faisons-nous de nos vies ? Sommes-nous assez attentifs à l’essentiel et aux gens qu’on aime ? » - Guy Duplat, La Libre Belgique, le 29 septembre 2015
« Impossible de rester insensible à la beauté ardente de ce texte authentique, loin de tout romantisme de pacotille. » - Mélanie Noiret, L’Echo, le 25 septembre 2015
« Ultra sobre, la mise en espace s’efface derrière le texte, tout comme Dirk Roothooft, d’une complète humilité pour incarner un homme qui reconnait avoir été cet homme-là grâce à la présence de D. à ses côtés. Beau et fort. » - Catherine Makereel, Le Soir, le 1 octobre 2015